Jusqu’ici quand vous étiez contrôlé sur le bord de la chaussée pour vérifier votre consommation éventuelle de stupéfiants, les forces de l’ordre devaient s’assurer de la validité du test de dépistage utilisé. Ils devaient également s’assurer que le test était conforme, qu’il n’était pas périmé et qu’il était utilisé de la bonne façon. Un récent arrêt de la Cour de Cassation met fin à ces précautions d’usage, comme l’explique Maître Jean-Baptiste Le Dall, avocat spécialisé dans la défense des automobilistes.
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